Tuba

Gabriel Lacombe

Avec son style aussi élégant que sa barbe et son accent chantant, le capitaine Gabriel maintient la barre du navire du French Brass Project aussi facilement que son tuba maintient le groove d'un bon morceau funky. Descendu de ses Pyrénées natales où il découvrit le tuba aux côtés de son père Michel Lacombe, son premier professeur, il fera une première escale au Conservatoire de Toulouse pour approfondir les rudiments du métier avec la bienveillance de ses mentors Sylvain Picard et Max Fouga. Ensuite ? Une ascension vers le Conservatoire Supérieur de Lyon où il bénéficiera des conseils avisés de Stéphane Labeyrie et Arnaud Boukhitine pour obtenir un Master. Ayant été pendant trois années membre de la Musique de l'Artillerie à Lyon, il est depuis tubiste free-lance et joue très régulièrement avec de nombreux orchestres français qui lui accordent leur confiance. Musicien doté d'une musicalité suave et d'un sens du rythme aiguisé, et ce malgré une autorité souvent à la limite de la politesse envers ses confrères, ses lignes de basses implacables et parfaitement dosées contribuent à faire d'un concert du French Brass Project un moment où votre corps et vos pieds vous donnent irrésistiblement envie de danser !
Gabriel Lacombe

Percussions

Florian Izorche

Pour assurer la partie rythmique de l'ensemble, il faut au moins un auvergnat pour centraliser un son aussi massif ! C'est donc le maître artificier Florian Izorche qui cimente l'ensemble avec un batterie, un tambour, ou bien encore un triangle... Né à Cournon, c'est dans sa ville natale qu'il apprend le tambour dès l'âge de six ans. Très rapidement, il enrichit sa panoplie en ajoutant les percussions et la batterie dans sa besace, avant de rallier le Conservatoire de Clermont-Ferrand d'où il sortira diplômé. Ensuite, vint un retour à ses premières amours, puisqu'il rejoint Paris et la Musique de la Garde Républicaine au sein du pupitre de tambour, poste qu'il occupera quatre années. Toujours à la recherche d'amélioration et d'enrichissement musical, il intègre la Haute École Musicale de Genève, en Suisse, pour un cycle de perfectionnement. Après seulement deux années, il réussit le concours de percussions à l'Orchestre national de Metz Grand Est, où il régale l'auditoire de sa finesse technique et de sa rigueur rythmique. On en oublierait presque sa passion pourtant dévorante pour le rugby, qui le pousse à s'investir dans des ensembles festifs, ce qui lui permet d'être un festayre tout à fait remarquable et remarqué !
Florian Izorche